Domaine de recherche, publications :

Architecte (Institut Saint-Luc Liège, 1988), Docteur en théologie (Université de Strasbourg II, 2004), Docteur en philosophie (Institut Catholique de Paris – Université de Poitiers, 2014), Habilité à diriger des recherches (Ecole Pratique des Hautes Etudes, 2019), Maître de Conférences à l’Université

" La relecture de Marguerite Porete, de Mechthild de Magdeburg et de Hadewijch d'Anvers par Maître Eckhart "
Riwanon Géléoc
Nom (lien)
Directeur(s) de thèse
Marie-Anne Vannier (UL), Freimut Löser (Université d’Augsbourg)
Composition du jury
Mme Marie-Anne VANNIER Université de Lorraine Directeur de thèse
M. Eric MANGIN Université catholique de Lyon Rapporteur
M. Ditmar MIETH Universität Tübingen Rapporteur
M. Freimut LÖSER Universität Augsburg CoDirecteur de thèse
Mme Martina WEHRLI-JOHNS chercheuse indépendante Examinateur
Date et heure de soutenance
Lieu de soutenance
CAEPR, Avenue Jean XXIII, Metz
Résumé

Depuis ses débuts, la recherche eckhartienne somme toute relativement récente s'est fréquemment et assidûment penchée sur les grandes inspirations philosophiques et théologiques de Maître Eckhart; on ne compte plus les travaux valorisant les influences néoplatoniciennes, maïmonidiennes ou bien encore thomistes de la production du Maître thuringien. Celui-ci fut néanmoins inspiré par d'autres penseurs auxquels la communauté scientifique a accordé jusqu'à présent moins d'intérêt, c'est notamment le cas des mystiques rhéno-flamandes. Dans ce travail de recherche, nous nous proposerons d'analyser la pensée eckhartienne au regard de plusieurs oeuvres béguinales que sont Le Miroir des âmes simples, La lumière fluente de la Divinité ainsi que les Lettres, les Poèmes et les Visions hadewigiens afin d'affiner l'approche théologique et philosophique d'Eckhart et, ainsi, de mettre en valeur son originalité, de mieux comprendre sa quête singulière d'universalité et de mieux saisir son point d'ancrage. Comment la prodigiosité de la théologie eckhartienne s'est-elle affinée au contact de ces textes en langue vernaculaire?

"Nicholas de Cues à Cologne. La doctrine de l'intellect chez Nicolas de Cues par rapport à ses possibles sources albertines et rhénanes "
Andrea Fiamma
Nom (lien)
Directeur(s) de thèse
Enrico Peroli, Università agli studi "G. d'Annunzio" Chieti-Pescara, Italie / Marie Anne Vannier, Université de Lorraine, France
Composition du jury

Proposition de jury

NOM & PRENOM

ROLE - QUALITE

UNIVERSITE DE RATTACHEMENT

VANNIER Marie-Anne

Directeur de thèse - Professeur des universités

Université de Lorraine

PEROLI Enrico

Co-directeur de thèse - Professeur des universités

Università degli studi "G. d'Annunzio" di Chieti-Pescara (Italie)

CALMA Dragos

Membre du jury - Maître de conférences associé

École pratique des hautes études, Paris

PAGLIACCI Donatella

Rapporteur du jury - Professeur associé

Università degli studi di Macerata (Italie)

SCHWAETZER Harald Rapporteur du jury - Professeur des universités Université Cusanus Hochschule (Allemagne)

Dipartimento di Scienze filosofiche, pedagog iche ed economico-quantitative Università degli stu di "G. d'Annunzio" di Chieti-Pescara Via dei Vestin i, 31 66100 Chieti (CH) Italia

Date et heure de soutenance
Lieu de soutenance
Università degli stu di "G. d'Annunzio" di Chieti - Italia
Résumé

Le projet de recherche que nous allons présenter concerne une étude détaillée de la théorie de la connaissance de Nicolas de Cues, avec une référence spécifique à la conception de l'intellect. Nous procéderons à une analyse systématique de l'épistémologie dans les œuvres philosophiques et théologiques du Cusain, et ensuite nous approfondirons les principales sources néo-platoniciennes. Une attention particulière sera consacrée à la « théorie de l'illumination » d'Albert le Grand et à la « génération éternelle du Verbe dans l'âme » de Maître Eckhart. En fait Nicolas de Cues a étudié intensément ces deux auteurs, probablement grâce à la médiation de Eimerico de Campo, à l'époque professeur à l'Université de Cologne. Notre intention est d’approfondir la théorie de l'intellect dans la philosophie de Nicolas de Cues en tenant compte, comme points de référence, de la constellation des auteurs et des doctrines qu’il a découverts dans son étude avec le maître rhénan. Avec cette recherche, nous essayons de tirer un fil rouge qui lie les mystiques rhénans, l'enseignement de Eimerico de Campo (dans le but d'enquêter encore mieux dans l'histoire de la philosophie) à la synthèse qu’offre Nicolas de Cues au milieu du XVe siècle.

En téléchargement
"Une relecture phénoménologique contemporaine de la mystique eckhartienne de la "naissance de Dieu dans l’âme" par Michel Henry "
Jean Reaidy
Directeur(s) de thèse
Marie-Anne Vannier
Composition du jury
  • Harald SCHWÄTZER, rapporteur du jury, président du jury
  • Rolf KÜHN, université de Fribourg, rapporteur du jury
  • Yves MEESSEN, maître de conférence, université de Lorraine
  • Marie-Anne VANNIER, professeur des Universités, université de Lorraine, directrice de thèse
Date et heure de soutenance
Résumé

Ce travail se donne pour objectif d'approfondir le lien existant entre la théologie mystique eckhartienne de la naissance et la phénoménologie de la vie telle qu'elle est développée par Michel Henry. Étant cette vérité éminemment chrétienne, « la naissance de Dieu dans l'âme » constitue l'essence du message évangélique, le fondement des doctrines spirituelles des Pères de l'Église ainsi que le soubassement intérieur de toute expérience mystique vivante. Sont analysés dans ce travail plusieurs axes mystiques et phénoménologiques qui se rapportent à la naissance mystique tels que la question du « détachement » eckhartien et la libération phénoménologique de l'essence, le problème de la connaissance absolue qui est essentiellement une connaissance filiale, la phénoménologie de l'homme intérieur, la réception de la grâce comprise comme réception de la vie dans le mystère trinitaire, la question du « présent vivant », la phénoménologie de la communauté vivante, la révélation esthétique qui trouve son sens ultime dans la naissance mystique ainsi que la filiation considérée comme le lieu d'une « divinisation » identique à cette naissance constamment intensifiée dans la vie de Dieu.

Abstract:
The goal of this work is to deepen the existing link between Eckhart’s mystical theology of birth and phenomenology of life such as it is developed by Michel Henry. Being eminently a Christian truth, “God’s birth in the soul” frames the essence of the evangelical message, the foundation of the spiritual doctrines of the Church Fathers as well as the internal basis of any living mystical experience. Several mystical and phenomenological axis related to the mystical birth are analyzed in this work such as the question of Eckhart’s "detachment" and the phenomenological liberation of essence, the problem of absolute knowledge which is essentially a filial knowledge, the phenomenology of the inner man, the receptivity of grace understood as the adherence of life in the Trinitarian mystery, the question of the "living present", the phenomenology of the living community, the esthetical revelation which finds its ultimate sense in the mystical birth as well as the filiation considered as the place of a "deification" identical to this birth constantly intensified in God's life.

"La question de l'’incréé chez Eckhart "
Isabelle Raviolo
Directeur(s) de thèse
Marie-Anne Vannier
Composition du jury
  • Pierre GIRE, professeur des Université, université catholique de Lyon, rapporteur du jury
  • Eric MANGIN, maître de conférence, université catholique de Lyon
  • Yves MEESSEN, maître de conférence, université de Lorraine
  • Klaus REINHARDT, professeur des Universités, université de Trèves (Allemagne), rapporteur du jury
  • Marie-Anne VANNIER, professeur des Universités, université de Lorraine, directrice de thèse
Date et heure de soutenance
Résumé

L'incréé chez Eckhart s'entend selon deux principales acceptions: du point de vue de Dieu et du point de vue de l" âme. Parler de l'incréé du point de vue de Dieu et du point de vue de l'âme revient à parler d'une seule réalité selon deux points de vue apparemment incommensurables ; et cependant> c'est en abordant l'incréé dans la relation entre ces deux points de vue que nous trouverons la manière adéquate d'en parler. Cette même réalité ne devient réellement une que là où l'on ne peut justement plus en parler- à moins de se résoudre à utiliser simultanément de deux langages : « Il se retira selon un mode et se donna apparemment selon un autre mode ; il se refusa en tant que Dieu et Homme et se donna en tant que Dieu et Homme selon un autre 'soi' dans un réceptacle secret!. »L'incréé met en jeu une seule et même réalité dans la relation de la créature à son Créateur : celle de l'unité. Ainsi quand il s'agit de poser un« quelque chose» qui soit autre chose qu'une puissance dans l'âme au sens aristotélicien, virtus devient un mot inapproprié. Car il ne s'agit plus là de l'intellect humain comme d'une puissance créée, mais bien d'un «quelque chose» par lequel l'intellect de l'homme participe à l'intellect incréé de Dieu. Par l'incréé sont posées les conditions de la transfiguration de J'âme et de sa formation dans l'Unité, lieu de coïncidence entre le fond de l'âme et le fond de Dieu (la Gottheit). On comprend ainsi que le « quelque chose> » (aliquid / etwas} dans l'âme (anima / seele) soit entièrement attribué à la Déité.

 

Abstract:
Spiritual metaphysic gets its apogee with Meister Eckhart as the speculative dynamic of « God’s Nothingness » points out. His conception finds its source in dionysian philosophy, and in particular in The Mystical Theology. Now, Eckhart’s God leads us to the question of causality and donation. Yes indeed, how can we think this God, if we do not wonder about the ontological problem of relation? Ow can we conceive the concept of this God to the end, i.e. to his Gotheit, if we do not study the question of relationship between man and God. Thus, how can we have an idea of Gotheit without Got, i.e. without his becoming in the creation? Eckhart’s account of God depended not only on theology and metaphysical speculation but also on his interpretation of mystical experience. Thus, he distinguished between Deus and God, as found in the three Persons of the Trinity, and Deitas or the Godhead, which is in the Ground of god but is indescribable. The Godhead, through an eternal process, manifests itself as the Persons. In the same way, Eckhart distinguished between faculties of the soul, such as memory, and the Grund or « ground » of the soul (also called the Fünklein, scintilla, or « spark »). By contemplation it is possible to attain to this Grund, living aside the discursive and imaginative activities which normally characterize conscious life. In doing this, one gains unity with the odhead. Although Eckhart gave some sort of explanation for the ineffability of the Godhead (namely, that is a pure unity and thus not describable), the main motive for his doctrine lay in a feature of mystical experience-that it involves a mental state not describable in terms of thoughts or images. It is a theological problem of God which is both transcendent and immanent. And we can think this problem in philosophy thanks to the relation of mystical donation between the soul and God, and then, overtaking of causality which is only the separation between the Creator and creature: the notion of God’s birth within the soul, through mystical experience, seemed to present the sacraments of the church as mere means of preparing for such experience, rather than as efficacious in themselves.

Zusammenfassung:
Um seine Wesenmystik vorzulegen ist Eckhart von dem Begriff des « Ungeschaffenen » ausgegangen, wobei er Ontologie und Mystik auf eigenartiger Weise in Beziehung brachte. Dieses Wort kommt zwar in den lateinischen Sermones schon vor ; jedoch wird es erst in den deutschen Predigten auf ganz bedeutsamer Weise benutzt. Wir nehmen uns vor, den Begriff des Ungeschaffenen im Rahmen der Werke des Meisters zu untersuchen. Abgescheidenheit, Freiheit, Geburt Gottes in der Seele – so lauten drei wesentliche Themen, die eine doppelte Verneinung bedeuten : die eine nimmt den Menschen mit von der Abgescheidenheit bis zur Union mit Gott, die sich in dem „Etwas in der Seele“ – oder dem ungeschaffenen Grund der Seele – verwirklicht ; die andere führt zur Ungeschaffenheit Gottes und bedeutet Apophatismus, was die göttliche Natur betrifft. Der Meister beginnt damit, daß er seine Überlegungen auf dem ethischen Gebiet zum Ausdruck bringt (die Abgescheidenheit) ; dann kommt es zu einer Ontologie, die sich auf den Begriff der „Einbildung“ stützt, der Vergöttlichung bedeutet. Also geht es darum, „daß man durch Gnade wird, was Gott von Natur aus ist“ : könnte der Gegensatz größer sein zu dem Pantheismus derer, die sich ihr Heil durch ihr eigenes Bemühen verschaffen wollten ?

"L'auto-intellection de Dieu chez Maître Eckhart "
Maxime Mauriège
Directeur(s) de thèse
Marie-Anne Vannier, Andreas Speer (cotutelle)
Composition du jury
  • Wouter GORIS, professeur des Universités, université libre d’Amsterdam
  • Ruedi IMBACH, professeur des Universités, université Paris 4 - Sorbonne
  • Klaus REINHARDT, professeur des Universités, université de Trèves
  • Andreas SPEER, professeur des Universités, université de Cologne
  • Marie-Anne VANNIER, professeur des Universités, université de Lorraine, directrice de thèse
Date et heure de soutenance
Résumé

La présente étude s’emploie à reconstruire et à analyser la conception eckhartienne de l’auto-intellection de Dieu, afin de mettre en évidence les divers enjeux de cette question, et par suite de mesurer l’importance exacte qu’elle revêt dans l’oeuvre et la pensée du Maître rhénan – surtout quant à son effort spéculatif pour accuser la réalité métaphysique de l’Intellect divin et rendre compte de son opérativité. L’ensemble de cette recherche se fonde sur un extrait du Sermon allemand 80, qui expose avec force et concision la richesse de l’intellectualité de Dieu à travers l’étendue de son acte d’auto-intellection, et propose ainsi une vue synoptique d’un traitement systématique de la question.

Chapitre. I. La question de l’intellectualité de Dieu dans l’oeuvre d’Eckhart

Rappelant d’abord l’omniprésence de la question De scientia Dei dans le débat scolastique depuis le milieu du XIIIe s., en soulignant l’importance qu’a tenue l’enseignement de Thomas d’Aquin, ce chapitre s’applique donc ensuite à déterminer l’intérêt accordé par Maître Eckhart à cette question dans ses écrits universitaires, mais se heurte à l’absence de son – authentique – Commentaire des Sentences et des deux premières partie de son OEuvre tripartite (à savoir l’Opus propositionum et l’Opus quaestionum). Le Prologue général à cette grande œuvre nous permet toutefois de développer une « approche propositionnelle » du problème – dans le respect de l’intention d’Eckhart et de sa « nouvelle logique du savoir » –, retranscrite par un schéma.

Chapitre. II. De Esse est deus à Deus est intelligere

Exploitant méthodiquement ledit schéma, le second chapitre se concentre sur les propriétés communes de l’Être divin et de l’acte d’intelliger (simplicité et unité) afin d’établir la déductibilité de la proposition Deus est intelligere à partir la proposition « fondationnelle » de l’Œuvre tripartite : Esse est deus. La complémentarité de ces deux propositions – qui à elles seules instrumentalisent tout l’enseignement d’Eckhart sur la substance divine –, nous amène ainsi à constater : 1) la cohérence et l’homogénéité du discours d’Eckhart, qui, restant fidèle à ses prémisses, a toutefois su s’adapter au contexte de son énonciation ; 2) l’unicité de l’esse et de l’intelligere divin, de sorte que le verbe « intelligere », dans son absoluité, ne soit plus seulement une raison de consignification à l’égard du mode d’être de Dieu, mais qu’il soit prédicable uniquement de l’Être qu’est Dieu.

Chapitre. III. Deus est intelligere seipsum

L’explication de notre « schéma propositionnel » s’est conclue par l’affirmation que seul Dieu est proprie intelligere, c.-à-d. per essentiam. Fondée sur la légitimité et la cohérence avérées d’une telle déduction de la proposition Deus est intelligere, le troisième chapitre se consacre à l’examen des modalités de cet acte, à savoir la détermination de son objet et la relation qu’il entretient avec celui-ci, en vue de démontrer que l’intelligere divin se comprend uniquement comme acte d’intellection substantielle de soi ; si bien que Dieu s’intellige proprement Lui-même (en raison d’une identité absolue de l’intellect et de l’intelligé), et par Lui-même (en excluant toute sorte de médiation), et en Lui-même (suivant un mouvement réflexif complet, conformément à la simplicité de son essence).

Chapitre. IV. L’auto-intellection de Dieu et la Trinité

À l’appui des principes philosophiques posés dans le précédent, ce chapitre entame l’étude de la productivité propre à l’acte d’autointellection de Dieu, dont le premier degré – la bullitio – nous entraîne au cœur de la théologie spéculative d’Eckhart, en montrant que sa conception noétique de Dieu est parfaitement conséquente à son interprétation du mystère trinitaire, qui s’enracine dans le commentaire exégétique du quatrième Évangile. En effet, le déploiement formel de cet acte coïncide avec la génération intellectuelle verbum in principio (Jn 1,1), si bien que le Fils se définit comme le Verbe engendré par l’auto-intellection du Père (qui est Principe de toute la Déité), tandis que l’Esprit Saint personnifie la conversion réflexive reliant l’Intellect paternel à son Image de lui-même dans un Amour réciproque.

Chapitre. V. L’auto-intellection de Dieu et la création

Pour Eckhart, l’émanation des Personnes en Dieu est praevia et prior en tant que causa, ratio et exemplar de la création, c.-à-d. que la procession des créatures ad extra est le prolongement théophanique d’un mouvement proversif principié par l’Intellect divin qui, en s’intelligeant lui-même comme l’Esse ipsum, c.-à-d. comme locus propriissime omnium entium, engendre un Verbe qui est aussi la Raison idéelle de tous les étants productibles émanant de sa causalité créatrice. Ce chapitre analyse donc la productivité extérieure de l’autointellection de Dieu, en conformité à son déploiement intratrinitaire, afin de montrer comment ces deux différents degrés de production – l’un per modum formalis (bullitio) et l’autre per modum efficientis et finis (ebullitio) –, bien que simultanés, s’articulent néanmoins selon un rapport d’antériorité ou de priorité causale et exemplaire, si bien que Dieu intellige nécessairement toutes choses en s’intelligeant Lui-même comme leur Principe, grâce à la double fonction du Verbe.

Annexes :

1. Édition critique de la distinction XXXV du Commentaire des Sentences retrouvé dans le Ms. 491 de Bruges (précédée d’un bilande la controverse sur l’attribution de ce commentaire et des recherches sur son rapport avec la Lectura Thomasina)

2. La science du Christ et ses enseignements chez Maître Eckhart : étude sur le Sermon allemand 90 (suivie d’une traduction).